Manque de confiance en lui, stress, problème de sommeil… Quand l’enfant semble perturbé par des angoisses ou un mal être, les adultes peuvent se sentir bien démunis et pourtant ils sont à même d’aider l’enfant à dépasser tous « ces moments de turbulence émotionnelle ».
Un jeune enfant comme tous les enfants peut connaître des moments d’angoisse… Ces moments là ont tendance à lui faire croire que la situation est pire qu’elle ne l’est en réalité.
Les angoisses quelles qu’elles soient sont toujours des émotions sur lesquelles il est difficile pour un jeunes enfant d’y mettre des mots mais qui peuvent le mettre en grande souffrance psychologique et le « bloquer » dans sa vie quotidienne.
Mais, en tant que parents ou professionnel (les) de la petite enfance vous pouvez bien évidemment agir concrètement pour apaiser un jeune enfant. Vous allez ainsi l’aider à grandir… Vous devez donc apprendre ou à réapprendre à communiquer avec l’enfant non plus uniquement de manière consciente mais plutôt grâce à une écoute intuitive qui vous aidera alors à résoudre ensemble ses problèmes et à soulager son malaise. Toutefois, les conseils et les messages rassurants des parents ou des professionnels (les) ne suffisent pas toujours puisque l’enfant, bien qu’il puisse s’exprimer avec des mots ne connaît pas toujours les causes exactes de son mal être et ne peut pas répondre à des questions qui risqueraient plutôt de provoquer davantage d’angoisses et de le faire douter de ses capacités. Si l’enfant met des mots sur la souffrance qu’il vit, aide bien souvent les parents ainsi que les professionnels (les) du lieu d’accueil où il est en garde, à trouver une solution puisqu’il y a souvent fort à faire afin d’apaiser un enfant pour que ses angoisses soient rapidement entérinées.
Qui n’a jamais eu de difficulté à apaiser un enfant alors qu’il est inconsolable, débordé par le chagrin…
Pour apaiser un enfant, ce qui est essentiel, c’est d’éviter de crier, de garder son calme. En effet, c’est le meilleur moyen pour qu’un jeune enfant qui hurle et pour qu’il écoute est de chuchoter des paroles apaisantes à son oreille afin qu’il vous prête attention. Alors, il s’interrompra ou de toute manière atténuera le bruit qu’il fait.
Si l’enfant est capable de s’exprimer avec des mots, parlez avec lui, échangez sur le problème en lui proposant des solutions pour le faire réfléchir à ce qu’il pourrait mettre en place pour dépasser son souci. La verbalisation des angoisses, des émotions est souvent la clé pour apaiser l’enfant. L’encourager à mettre en mots sa souffrance, représente une aide pour le jeune enfant. Dites lui : « parle-moi de ce qui t’angoisse. Dis-moi ce qui te fait peur ». Ces paroles donneront à l’enfant l’occasion de parler de ses émotions, sans interruptions, ni jugements. Il est donc important de ne pas minimiser ou nier les peurs, de ne pas dire « ce n’est rien » mais d’être plutôt en mode d’écoute empathique.
L’enfant angoissé est souvent pris dans des histoires qu’il se fabrique et auxquelles il ne voit aucune issue positive. Il est possible de l’encourager à envisager différentes options pour le sortir de sa représentation négative. Vous pouvez entre autre utiliser l’humour, une méthode anti-stress ou anti-colère pour détourner son attention en le faisant rire.
Montrez-lui qu’il est plus fort qu’il ne le croit et peut comprendre qu’il est capable de trouver lui-même les réponses en lui. En effet, « c’est essentiel pour grandir et avoir confiance en soi ».
Reconnaître le mal-être de l’enfant, c’est faire preuve d’empathie. Quelles que soient les angoisses, les émotions, elles sont souvent passagères et finissent toujours par passer.
Pour pouvoir exprimer sa souffrance et ainsi s’apaiser, l’enfant ne doit pas se sentir jugé mais en confiance avec l’adulte. Il convient alors de reconnaître que visiblement quelque chose le dérange dans sa vie et que vous aimeriez pouvoir l’aider à aller mieux. Bien que vous n’ayez pas toujours la possibilité de changer la situation, vous pouvez changer la vision qu’a le jeune enfant sur cette situation.
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