Une récente étude du DRESS traduit une certaine insécurité dans le cadre familial. Selon cette dernière, les parents ne se sentiraient pas suffisamment soutenus et n’auraient pas accès à leurs structures de prédilection pour placer leurs enfants.
Chaque année, la Direction de la Recherche, des Etudes, de l’Evaluation et des Statistiques ( DRESS) publie un baromètre d’opinion qui recense les évolutions de l’avis des Français sur des questions liées à la santé , à la protection sociale et aux inégalités sociales .
Le questionnaire se divise en 9 thématiques :
L’objectif de ce rapport est d’évaluer l’efficacité des politiques sanitaires et sociales et de fixer de nouveaux objectifs en fonction des résultats.
Le dernier baromètre divulgué date de 2018 et rassemble les témoignages de 3037 personnes résidant en France métropolitaine. Les résultats de l’enquête, comparés à ceux de 2017, traduisent une plus grande inquiétude des Français quant aux inégalités sociales ainsi qu’une plus forte opposition à la réduction du montant des prestations sociales .
Cela s’explique en partie par le contexte social au moment de la récolte des données, marqué notamment par le mouvement des Gilets Jaunes et les projets de réformes des prestations sociales .
Cette sensibilité aux inégalités de revenus se transpose également dans le domaine de l’accueil et de l’accompagnement des enfants en bas âge . En effet, un Français sur deux considère que les familles les plus modestes devraient être davantage soutenues.
A la question « Quel devrait être l’objectif prioritaire de la politique familiale ? », 35% ont répondu qu’il faudrait en priorité permettre aux familles de mieux se loger tandis que 34% affirment qu’il faudrait davantage faciliter la conciliation entre vie familiale et vie professionnelles.
Concrètement, plus de 45% des Français se déclarent favorables à la modulation des allocations familiales en fonction du revenu des ménages. Par ailleurs, près de 30% soutiennent le versement d’un montant plus élevé à partir du troisième enfant . Quant aux conditions d’accès, il s’agirait pour les deux tiers des sondés de permettre aux ménages de recevoir les prestations dès le premier enfant.
Concernant les modes d’accueil des petits enfants, l’opinion à cet égard est directement liée à l’accessibilité géographique et financière des structures. Près de 50% des personnes pensent que la crèche est le mode d’accueil le plus bénéfique , alors que 15% préfèrent le recours à une assistante maternelle . Cependant, cette opinion n’est pas forcément représentative, les ménages se disant plus favorables à la crèche étant plus nombreux que ceux y ayant effectivement recours. Dans les endroits où l’accessibilité aux assistantes maternelles est la plus grande, les familles ont tendance à privilégier ce mode d’accueil au détriment de la crèche.
Par ailleurs, les résultats du baromètre traduisent un besoin important quant au soutien à la « parentalité », notamment sur les questions de santé , les cas de conflits familiaux , les relations avec l’école , etc. Cette volonté concerne 50% des parents interrogés et s’inscrit dans une tendance à la hausse depuis 2014.
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